Pour atténuer la tempête de cytokines qui cause la détresse respiratoire, il faut cibler les molécules pro-inflammatoires présentes dans les poumons et non celles détectées dans le sang.
On ne peut pas déduire ce qui déclenche l’hyper-inflammation des poumons des personnes sévèrement atteintes de COVID-19 à partir de ce que l’on mesure dans le sang. Il faudrait tenir compte de ce fait si l’on espère concevoir des médicaments efficaces pour réduire la morbidité et la mortalité chez les gens exposés à la tempête de cytokines déclenchée par la COVID-19….